26 novembre 2009
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08:33
J’arrête le boulot demain. Je suis confrontée aujourd'hui à un problème nouveau : que faire des deux jours qui me restent.
Je ne vais pas rester, et soyons franc, il est difficile de s’impliquer les deux dernières journées autant que les autres jours. J’ai déjà fait un milliard de propositions qui n’ont pas encore été encore lues et je ne sais plus sur quoi rebondir, je ne sais quoi parfaire avant de partir.
J’ai presque l’impression que ce sont mes premières journées, celles où je ne savaient pas encore quoi faire, celles où il y avait des blancs.
Ce n’est pourtant pas la première fois que j’arrête un boulot. C’est presque devenu une habitude par la force des choses. J’en ai déjà arrêté une vingtaine mais jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière minute je savais quoi faire : à la boutique de collant je continuais à distribuer des collants et à vendre des culottes, au stand de glace je continuais à faire des glaces italiennes, à la banque je continuais à me faire jeter par les clients débiteurs.
Je m’en allais même à chaque fois avec la terrible impression que j’allais revenir tellement rien ne différait des autres jours. Je n’ai jamais connu le relâchement des derniers jours.
Sauf chez le Roi du Burger, où je continuais à déboucher les toilettes mais avec le sourire, celui du dernier jour.
Par contre aujourd'hui, j’avoue je sèche.
Je continue à faire comme si c’était une journée traditionnelle : je bois mon thé au lait, je mange mes Wasa, je veille sur Netvibes, je twitte une connerie, j’alimente le compte facebook et twitter du projet, écrit un article sur le blog de la plateforme, j’essaie de comprendre Wordpress, j’étudie la fréquentation du site …
Et puis une idée me viendra et je travaillerais dessus sans savoir si cela prendra forme un jour …
Travailler sans savoir si c’est pour rien ou pour quelque chose ce n’est pas le plus stimulant.
Et vous, des souvenirs de dernier jour de boulot ?
Je ne vais pas rester, et soyons franc, il est difficile de s’impliquer les deux dernières journées autant que les autres jours. J’ai déjà fait un milliard de propositions qui n’ont pas encore été encore lues et je ne sais plus sur quoi rebondir, je ne sais quoi parfaire avant de partir.
J’ai presque l’impression que ce sont mes premières journées, celles où je ne savaient pas encore quoi faire, celles où il y avait des blancs.
Ce n’est pourtant pas la première fois que j’arrête un boulot. C’est presque devenu une habitude par la force des choses. J’en ai déjà arrêté une vingtaine mais jusqu’au dernier jour, jusqu’à la dernière minute je savais quoi faire : à la boutique de collant je continuais à distribuer des collants et à vendre des culottes, au stand de glace je continuais à faire des glaces italiennes, à la banque je continuais à me faire jeter par les clients débiteurs.
Je m’en allais même à chaque fois avec la terrible impression que j’allais revenir tellement rien ne différait des autres jours. Je n’ai jamais connu le relâchement des derniers jours.
Sauf chez le Roi du Burger, où je continuais à déboucher les toilettes mais avec le sourire, celui du dernier jour.
Par contre aujourd'hui, j’avoue je sèche.
Je continue à faire comme si c’était une journée traditionnelle : je bois mon thé au lait, je mange mes Wasa, je veille sur Netvibes, je twitte une connerie, j’alimente le compte facebook et twitter du projet, écrit un article sur le blog de la plateforme, j’essaie de comprendre Wordpress, j’étudie la fréquentation du site …
Et puis une idée me viendra et je travaillerais dessus sans savoir si cela prendra forme un jour …
Travailler sans savoir si c’est pour rien ou pour quelque chose ce n’est pas le plus stimulant.
Et vous, des souvenirs de dernier jour de boulot ?