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11 septembre 2009 5 11 /09 /septembre /2009 17:53

Ma semaine se divise en 2 phases :

3 jours d’épanouissement dans mon nouveau travail et 2 jours de désépanouissement à la boutique. En effet, pour l’instant je ne suis qu’à mi-temps, et vu que mes vacances au Portugal n’étaient en rien adaptées à ma situation financière je dois combiner les deux si je veux continuer à m’acheter des pâtes.

Parfois je me demande pourquoi je travaille car de toute façon les deux bouts sont beaucoup trop éloignés pour que j’arrive à les faire se joindre un jour.

Je passe donc les semaines à tester la bipolarité : bonne humeur le mardi, jeudi et vendredi. Nerfs à fleur de peau le lundi et le mercredi.

Mes neurones ayant recommencés à s’agiter 3 jours par semaine, me retrouver face à des clientes hésitant entre le collant couleur caramel ou noir parce que tout de même on est en septembre me fait monter la moutarde au nez.

 

Et forte la moutarde.

 

Faire un travail intéressant et où on me demande mon avis ne m’aide pas à distribuer les culottes gainantes avec entrain.

De toute façon les mots « peut-être » et « licenciement » on été prononcés. Je n’aurais logiquement plus à me poser la question.

 

En ce qui concerne l’autre partie de ma semaine c’est tout simplement ce qui me convient. Je vais vous en parler plus longuement dès que je me serais décoincée à l’idée de parler d’autre chose que de boulots foireux.  

C’est vrai que c’est plus facile de parler d’expérience merdeuses que de bonnes expériences.

Mais il va falloir que j’apprenne car c’est bien parti !

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9 septembre 2009 3 09 /09 /septembre /2009 07:31
J'ai commencé un nouveau travail. Comme c'est écrit en lettre de néon sur la lune ça n'a pu échapper à personne.
Je suis très heureuse et loin de moi l'idée de me plaindre, mais j'ai découvert une petite surprise derrière cette opportunité : le pack découverte du nouveau job.

Le package nouveau job qu'est-ce que c'est? C'est le pack découverte de tout ce qui vient en périphérie du nouveau travail et dont on ne peut se passer.
Un exemple tout simple : le bus aux heures de pointe. Non content de subir la proximité collé-serré avec mes semblables je dois en plus me farcir la vue des automobilistes à l'arrêt, prenant écologiquement leurs voitures en solitaire et se dirigeant tous au même endroit.  A croire que toute la ville rose bosse dans le même immeuble. Je leur suggèrerai bien de remplir leurs voitures et de diviser ainsi les bouchons par 5, ça permettrait de libérer le chemin et d'éviter d'augmenter les stats de population agoraphobe.

Un autre exemple très significatif de ce pack découverte : le repas-tupperware. J'ai bien un McDo juste en bas mais bon ce n'est pas une solution sur le long terme. Non. Je vais devoir en passer par la petite boite en plastique, qui permettra de me rationner en terme de quantité et de passer en quelque seconde de la fraicheur du frigo à la chaleur du micro-onde.
Le pied de la gastronomie, la crème de la cuisson.

Mais le package c'est aussi de bonnes découvertes. C'est découvrir que l'on travaille à côté d'un H&M, qu'une magnifique salle de sport toute neuve a ouvert à deux mètres et que que ma fois ça met bien du beurre dans le tupperware ...

P.S : Ce post a été écrit sans correcteur d'orthographe et de bon matin donc soyez indulgent ...





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3 septembre 2009 4 03 /09 /septembre /2009 12:45
Voici un dessin qui reflète très bien mon humeur lorsque je porte des basket taille 44, merci Lili Bé :)

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2 septembre 2009 3 02 /09 /septembre /2009 08:00

Hier j’ai fait mon premier jour de boulot. J’ai bien songé à faire un petit reportage photo pour immortaliser l’instant mais vu mes finances j’ai du me contenter de l’appareil bas de gamme de chez Darty qui fait une photo claire pour 25 flous.

 

5h45 : Ayant peur de me rendormir après la sonnerie de mon réveil comme c’est parfois arrivé, j’ai pris la sage décision de le mettre à sonner 3 heures avant, comme ça même en cas de panne de bus j’aurais eu le temps d’y aller à pied.

 

En faisant un pas en avant deux pas en arrière même vu l’avance que j’avais.

 

8h00 : Je prends le bus avec mes futurs copains de bus avec qui je partagerai mes cernes pendant 3 mois. Je suis considérée comme la nouvelle car je n'ai pas encore mon lecteur Mp3 vissé sur les oreilles.

 

8h45 : Je fais le tour de la zone car je suis trop en avance et je me rends compte avec effroi qu’il y a un Mc Do en bas de l’immeuble.

Je regarde dans le reflet d’une vitre mes fesses encore minces.

 

9h00 : J’arrive guillerette sur mon nouveau lieu de travail en songeant que même une photo flou aurait valu le coup.

 

10h00 : Je commence à travailler et je me dis que ça me plait et que je suis super contente.

 

12h00 : Descente au Mc Do. J'évite le reflet que me renvoie la vitre.

 

14h00 : Je continue à prendre connaissance de mes fonctions et réprime un petit cri hystérique (hiiiiiii !) chaque fois que je fais une nouvelle découverte.

 

17h00 : Fin de la journée qui est passée trop vite.

 

Je vous parlerai plus longuement de mon travail plus tard, quand je serai plus immergée. Aujourd’hui c’est boutique. Car oui j’honore mon mi-temps pendant trois mois. J’aurais donc de belles histoires de clientes et de soutien-gorge à vous raconter avant de pouvoir parler de mon nouveau travail.

 

P.S : Comme il fallait une note noire à cette journée, je me suis rendue compte à la salle de sport que j’avais oubliée mes basket. J’ai donc fait toute la séance avec des baskets à scratch taille 44. Il existe un temps lointain où j’aurais été mortifiée de honte mais maintenant que je suis épanouie et bien je m’en fiche !

 

 

 

 

 

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31 août 2009 1 31 /08 /août /2009 08:32


C’est la rentrée, des boules se forment dans le ventre des élèves, ça sent le neuf dans le cartable, les stylos ont encore tous leurs capuchons.


Comme une écolière j’ai la boule au ventre. C’est peut-être dû au fait que je n’ai mangé aucun fruit et légumes pendant ma semaine de vacances mais c’est aussi dû au changement de cap qui s’annonce.


Ce changement de cap je l’ai voulu mais malgré tout des questions se posent : en suis-je capable ? Suis-je faite pour ça ? Ne plus faire d’heures sup à la boutique de collants ne va-t-il pas me manquer ?


Je vous laisse répartir aisément les oui et les non.


Comme une écolière j’ai envie de m’acheter un beau cahier et un beau stylo pour bien commencer ma rentrée, avec du bon matériel on travaille mieux. Enfin c’est ce que j’ai toujours voulu faire croire à ma mère lorsqu’elle se dirigeait vers le bas du rayon à l’heure d’acheter les fournitures.


Comme une écolière je vais zyeuter les nouvelles personnes autour de moi et essayer de montrer le meilleur de moi-même même si au début je risque de partager mes repas en tête à tête avec mon Tupperware


Et puis comme une écolière au fil des jours les capuchons de mes stylos vont être mâchouillés, déchiquetés. Les marges du cahier vont être parsemées de fleurs et de frises, je connaîtrais les prénoms des autres par cœur, je ferais partie du groupe.

Je serais une écolière heureuse.


Mais heureusement je n’ai pas autant de boutons qu’une écolière.

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 18:16

 

Comme je le disais dans le post précédent, depuis que j'ai trouvé ma vocation du moment et bien j'ai de la matière pour passer des entretiens. Tout d'abord parce que je suis devenue la fille qui sait ce qu'elle veut, ensuite parce qu'il y a du boulot là-dedans. C'est nouveau, c'est beau et ça répond à un besoin, à une tendance.

 

Premièrement j'ai passé un entretien dans une super agence de com'.

Le genre d'endroit où j'avais déjà envoyé quelques CV et minauderies pour un stage sans succés.

Le genre d'endroit où il y a plein de jeunes, où les locaux sont top et où l'ambiance à l'air super sympa.

Le genre d'endroit où si je l'intégrais, je ne me sentirai plus pisser.

 

Quitte à ce que ça me pose quelques problèmes sociaux.

(Dois-je me sentir totalement obligée de préciser que j'ai fais un jeu de mot?)

 

Bon arrêtons là le suspens je n'ai pas été prise car tout de même il existe des personnes mieux formée et déjà intégrée dans le réseau. Mais j'étais sur le podium. Avoir la deuxième place et les félicitations du jury et bien ça ne me dérange absolument pas. Je trouve même cela plutôt positif pour un premier entretien.

 

Je précise au passage qui si ils cherchent une femme de ménage, je peux aussi commencer à intégrer l'équipe dans une autre branche.

 

Puis j'ai passé un second entretien. Avec un de mes followers sur Twitter tiens. Plus ça commence de façon inhabituelle, plus je trouve ça sympa.

On me propose de participer à un projet qui me plait, dans une petite boite qui me plait tout autant.

 

Suis-je prête à foncer on me demande.

Et comment !

 

Je déboucherais le champagne et n'exprimerais ma joie que lorsque j'aurais apposé le B de Brune en bas d'un papier officiel.

 

Mais bon … si on ne se réjouit pas à l'avance, on se réjouit moins longtemps.

 

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20 août 2009 4 20 /08 /août /2009 07:55

 

Il s'en est passé des choses ces dernières semaines.

Il faut dire que mon espoir avorté d'enfin changer de boulot m'a incité à donner le coup de collier à mon CV et à mes ambitions.


Je suis sortie. J'ai rencontré des entrepreneurs, des chefs d'entreprises, des gens passionnés.


Je peux enfin poser un nom sur le métier qui m'intéresse aujourd'hui et qui rassemble les notions qui me plaisent. Là où il y a encore quelques semaines je disais :

« Euh alors là tu vois j'adore ce qu'offre internet au gens et je trouve qu'il est très intéressant de communiquer par internet car tu vois les blogs... » qui achevait de piétiner mes chances d'être prise au sérieux, et bien aujourd'hui je peux annoncer fièrement :

 

« Ce que je veux faire? Community manager. »

 

Oh Yeah! (A prononcer comme Serial Killer dans "La cité de la peur" »)

 

Si je disais « je veux faire manageuse de communautés » ça ferait certes moins pompeux mais on m'imaginerait en longue robe blanche en train de manager les nouveaux arrivant de la secte Skypi.

 

Community manager donc. Un métier tout à fait dans mes compétences pour une fille qui passe ses journées d'été à twitter, alimenter son blog, twitter, lire des blogs …

 

Vu qu'il existe pour moi autant de fonction de community manager que de clients qui font appel à eux, je ne ferais pas ici un descriptif du poste. Pas aujourd'hui.

 

Ma vocation identifiée, ça a tout changé. Tout d'abord j'ai commencé à passer des entretiens. Mais eux ils méritent un post à eux tout seul.

 

Ensuite, fait très important, j'ai pu éviter de regretter cette opportunité.

Car il m'a rappelé. Oui.

Vendredi je faisais une pause méritée sur une plage de Barcelone lorsque j'écoute un message sur mon répondeur « Bonjour je suis le Monsieur qui ne t'a pas rappelé, j'aimerais te parler, rappelle-moi ».

 

Tout d'abord une chose : ne pas coller son téléphone à moitié tactile sur des cheveux mouillés. J'ai du réanimer mon téléphone pendant de longue minutes avant de pouvoir joindre mon imprévisible interlocuteur qui a du se faire planter par la personne fraîchement embauchée.

 

« Je suis en voiture je vous rappelle à 18h » qu'il me dit.

 

Il ne m'a jamais rappelé. C'est devenu un jeu il faut croire. Remarque ça m'a arrangé de ne pas dilapider mon argent dans des conversations téléphoniques à l'international.

 

Mais bon, j'aurais tout de même aimé lui dire que je me fichais de son opportunité vu que j'ai trouvé un travail.

 

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18 août 2009 2 18 /08 /août /2009 09:02

En ce moment je me la joue un peu molasse du clavier en ce qui concerne la longue prose. Mes mails font 140 caractères, alors que mes twitt en font 100. Je prend de mauvaises habitudes.

Mais c'est vrai qu'à l'approche de mes vacances qui n'arrivent pas assez vite j'ai plus envie de parler glandouille que boulot. Une fois n'est pas coutume.

Le salaire et les vacances c'est ce pour quoi tout employé à commencé à travailler un jour. Et si il reste assez de salaire pour payer les vacances alors là on peut dire que l'employé à réussi sa vie toute Rolex mise à part.

Je n'ai jamais économisé pour partir en vacances il faut croire que je n'ai pas encore réussi la mienne. De toute façon je n'ai encore jamais économisé tout court. Alors je me suis faite une raison. N'ayant pas d'argent pour me faire faire un passeport et encore moins pour me payer un billet d'avion pour goûter la température de l'eau à Bali et bien je pars en vacances dans le secteur.

Mes premières vacances en indépendante, je les ai passées à 45 km de chez moi à Vias plage. Tranquille bourgade de bord de mer, je pouvais dépenser la moitié de mon salaire durement gagné à l'usine d'œuf en malibu ananas avec les copines tout en continuant de gaspiller mon capital soleil.

Les vrais vacances pour moi ce sont celles où je ne me met pas la pression. Dormir jusqu'à l'heure voulu, avoir un endroit où faire trempette et ne pas être dans l'obligation de visiter telle église ou d'observer les façades des maisons anciennes avec attention. J'aime découvrir une ville comme ça me chante en flânant par-ci par là quitte à passer à côté d'un joyau de l'art roman si c'est pour découvrir un autre endroit sympa. En vacances je ne me force pas à faire 1h30 de queue en plein mois d'août pour visiter l'Alhambra à Grenade. Je l'admire de l'autre bout de la ville en sirotant un granita à l'ombre. Pour la visite j'y retournerai un jour en hiver.

J'aime à penser que je reviendrai dans les villes que je visite. Je suis bien retournée à Dublin tiens. Et le fait que ce soit le temple de la Guinness n'a rien à voir.

Dans 3 jours je pars au Portugal, une petite semaine de vacance loin des collants, des CV et des lettres de motivation.

Il me tarde. Mais j'ai encore 3 jours de semi-glandouille pour vous raconter ce qui m'est arrivé il y a quelques jours ...



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12 août 2009 3 12 /08 /août /2009 09:05
Je suis une fille très « pourquoi ». J’ai évité plusieurs fois d’être victime d’un fratricide lorsque étant petite je posais sans cesse des questions devant les dessins-animés. « Mais pourquoi Tom tend-il sa jambe pendant 10 minutes avant de shooter dans le ballon ? »

En même temps cette question était légitime.

Donc je continue sur ma lancée des mais pourquoi donc, sans doute parce que le fait de faire des cv et de passer des entretiens me ramène sans cesse à me justifier sur mon glorieux parcours.

Pourquoi donc une jeune fille en arrive à faire 18 petits jobs alors qu’elle a un peu plus d’ambition que ça ?


Première cause : avoir de l’argent de poche. J’ai commencé à travailloter à 16 ans pour mettre de côté et me payer le permis qui ne me sert strictement à rien sinon de deuxième pièce d’identité et de banque à point pour mon père qui tente au fil des radars trop bien cachés de m’en grappiller quelqu'uns et d'essuyer un refus à chaque fois.

Deuxième cause : La non-gratuité de la nourriture. 300 euros de bourses lorsque l’on vit en Cité universitaire c’est bien, mais une fois le loyer déduit eh bien il reste de quoi aller s’acheter des carottes râpées Lidl et du maquereau en boîte sauce moutarde. Mais un jour on a envie de diversifier son menu. Alors on va vendre des glaces à Palavas pour faire ses courses chez Carrefour.

Troisième cause : Le découvert. Lorsque l’on vit un peu en dessus de ses moyens et bien on rentre dans un cercle drôlement vicelard qui consiste à jouer au rebouche-mi et débouche-moi avec un découvert trop important pour une boursière qui aime malgré tout profiter de sa vie étudiante.

Ces trois causes suffisent à savoir comment on arrive très vite à ne pas pouvoir mettre de sous de côté et que donc et bien on accepte tout ce qui passe comme boulot.
Enfin jusqu’à ce que l’on trouve un mi-temps, que l’on revoie son niveau de vie à la baisse et que l’on n'est plus aussi pressée pour avoir un salaire un tout prix. On prend donc le temps de chercher.

Mais on y reviendra.
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10 août 2009 1 10 /08 /août /2009 08:25
Le plus difficile lors d’un entretien d’embauche hormis le fait d’éviter de me faire craquer les articulations, c’est de devoir justifier le choix de mes études.

Sans doute traumatisée par mes cours d’économie du lycée, et par le lycée en lui-même, j’ai cherché sur Montpellier une filière sympa en accord avec mes préoccupations vaguement artistique du moment.

Arts du spectacle.
En voilà des études qui ne sonnent pas très « nuits blanches à bosser ses partiels » ça.

C’est en DEUG option cinéma que j’ai pu mesurer le potentiel si spécial de cette filière : 13 heures de cours par semaine et des profs nous déclamant qu’ils préfèreraient nous voir au cinéma plutôt qu’en cours.

Je ne suis jamais allé autant au cinéma que ces deux premières années d’études.
Ayant été élevée au film de Schwarzenegger et de Jean-Claude Van-Damme j’avais quelques lacunes à rattraper.

Qu’est-ce qu’on apprenait en cours ?
A analyser des séquences plan par plan, à analyser le comique au cinéma, à établir des critiques de films, à faire des courts métrages en équipes.
Les partiels ? La grande rigolade où les 1000 inscrits revenaient par miracle ce jours là et côtoyaient les 250 assumant leurs quelques heures de cours. C‘est donc dans des amphis plein à craquer de gens que nous devions disserter sur l’abécédaire de Derrida.

Il fallait vraiment avoir trop subi l’influence de JCVD pour ne pas avoir son année.

A quoi sert ce genre d’études ? Selon l’Université, à former des futurs professionnels du cinéma si l’on omet de préciser que la condition est de réussir le concours d’entrée à la FEMIS bien-sûr. Ca sert surtout à se faire une bonne culture générale sur le plan cinématographique et sur le plan de l’image en général.

J'ai mis quelques années à faire comprendre à ma mère que je ne cherchais pas à devenir actrice. Trop tard de toute façon, tout mon village était déjà au courant.

Je reste donc pour eux l'actrice ratée.

En ce qui me concerne j'ai choisi ces études car voulais juste apprendre quelque chose de sympa.

J'ai pensé à très court terme au niveau carrière mais je ne le regrette pas ...
... enfin pas trop.
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